Résumé :
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Dans un entretien, Nadji Safir, universitaire algérien, explique pourquoi, selon lui, le "printemps arabe" n'a pas existé en Algérie, la contestation prenant d'autres formes sporadiques et locales. Il analyse les conséquences de la politique économique du pays, la part des hydrocarbures, l'absence d'industrie de production dont les conditions ne sont pas réunies pour leur essor et l'importance des importations notamment de Chine. Nadji Safir donne également son point de vue sur la place de l'Islam dans la vie quotidienne, l'évolution de la place des femmes dans la société, la place de l'armée et les relations de l'Algérie au niveau international.
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